Il sera engagé à la Comédie-Française comme pensionnaire de 1994 jusqu’en 2003. Il y retrouve un camarade de l’Université de Rouen, Philippe Torreton. Celui-ci le présente à Bertrand Tavernier qui en fait l’un des jeunes criminels de L’Appât, le film qui révèle le comédien au cinéma en 1995.
En 1999 il obtient le César du meilleur Espoir pour « Petits désordres amoureux » réalisé par Olivier Péray.